Glenn Hughes
lors que certains pensaient qu’il était parvenu au sommet avec "The Way it is" et "Return of Crystal Karma" Glenn nous sort "Builing the Machine" en 2001, un album une fois de plus de grande qualité, une leçon d’inspiration d’un artiste qui nous ravie en sortant un opus par an sans jamais manquer de talent.
2001 c’est aussi la sortie du formidable Metal Opéra, "Nostradamus" de Nikolo Kotzev (Brazen Abbot), dans lequel Glenn incarne Henry II, roi de France, nous faisant presque passer inaperçu ses autres collaborations tels que "Twister" de Max Magagni, "Stone Cold Queen", un nouvel hommage à Queen, "Another Hair of the Dog", un hommage à Nazareth, "Let the Tribute do the Walking", un hommage à Aerosmith, "Please Where do we Live ? " de Ape Quartet, "Voices for America" ou encore "Ellis Three" de Ellis… rien que ça ! Mais ça n’est pas tout, la même année il rejoint de nouveau Deep Purple donnant naissance à un album live, "This Time Around : Live in Tokyo".
Faute de nouvel album solo en 2002, Glenn se joint à Joe Lynn Turner pour sortir "HTP" (Hughes Turner Project) suivi d’un live, "Live in Tokyo". Un live fortement décrié du fait des reprises de Ritchie Blackmore, considérées par les puristes comme un massacre cacophonique. Il est vrai que les riffs n’ont pas l’ampleur de ceux de Ritchie, qu’à l’occasion de ce concert, Glenn et Joe Lynn se sont adjoint les services de musiciens japonais… pourtant l’album n’est pas si mauvais même si nous aurions préféré sans aucun doute que Ritchie Blackmore en personne vienne y apporter sa touche magistrale.
Discographie
![]() |
![]() |
||||
![]() |
||||
![]() |
||||